AG 2017 - Profession de foi de M. Gérard BOUDES

Je voudrais en premier lieu souligner le travail remarquable accompli par Claude Cappa.

N’oublions pas les recrutements effectués et réussis, l’abondance et la qualité des contacts avec nombre d’opérateurs parallèles à nos métiers ou organisations de confrères, sans oublier la création de notre rendez-vous annuel de Barbaroux.

Si l’édifice apparaît solide, il convient cependant d’en noter les fragilités. Il y en a toujours dans un monde en mouvement.

C’est ce que je ne manque pas de voir régulièrement, depuis près de 25 ans que je participe à cette association, et depuis dix que j’en assure la trésorerie et la gestion quotidienne.

Au niveau de nos propres activités, on remarque les effets de dématérialisations de toutes sortes, juridiques ou techniques.

Il nous appartient ici de faire connaître notre rôle et notre aspect indispensable, humain et de contact psychologique, au-delà d’automatismes ou algorithmes rigides et inadaptés.

Sur le plan judiciaire, tout le monde connait l’importance du principe du contradictoire. Il en va de même dans le mode amiable où nous sommes en mesure, d’être :

• Des interfaces de négociation
• Des arbitres, des conciliateurs
• Ou des passeurs d’une information objective

De nature à apaiser tout conflit et permettre des décisions rationnelles.

Se faire connaître, c’est aussi s’ouvrir vers d’autres compétences. Ici, rappelons que Claude Cappa vient d’ouvrir une voie prometteuse.

J’entends donc être moi-même aussi un passeur, vers des horizons externes et aussi internes, car je sais que les compétences ne manquent pas parmi nous.

Sur le plan des horizons externes, nous aurons à cœur d’explorer les voies ouvertes, mais sans oublier l’état d’esprit et la culture de l’EEFIC.

L’avenir des plus jeunes repose sur leur implication dans la direction de cette association.

Je terminerai en précisant que je me présente avec une équipe solidaire du passé et de l’avenir.

G.Boudes

21 avril 2017